Nous nous étions arrêtés en tirant un voile pudique sur l’extrême sensualité de mon couché du vendredi soir (insérer ici n’importe quel morceau de Barry White pour l’ambiance)… Nous voici donc samedi matin, après une nuit délectable, sans enfants me réveillant toutes les heures et demies pour aller aux toilettes, faire un câlin, leur masser les jambes ou encore mieux dernièrement, leur gratter le dos 😮
Hélas, trois fois hélas, le rythme étant pris, je me serai tout de même réveillé quinze fois, faisant à chacune le constat que « non, c’est bon, rien à signaler ».… Read the rest
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